Bonjour, c'est moi, Christophe, qui vous invite à faire ce voyage du héros. 


J'ai 62 ans et une longue expérience de voyageur et de coach.

Mon premier voyage, c'était au Pays-Bas en 1978, lors d'un échange avec un club de natation de la ville de Delft. J'avais 15 ans.  L'été suivant, je suis parti en stop, avec un copain et quelques centaines de francs en poche, direction la Haye (Den Haag). J'ai connu le temps de la carte interrail qui permettait aux jeunes de silloner l'Europe pour pas trop cher. Au cours de mes années au lycée, j'ai exploré, sac au dos, tous les pays d'Europe du nord et même fait une incursion mémorable en URSS. 


Puis, dans les années 80, il y a eu une période antillaise. J'ai effectué six séjours mémorables en Martinique , en Guadeloupe mais c'est la Guyane et sa jungle qui ont le plus fortement marqué mon esprit. Mais ce n'était rien encore comparé à mon coup de coeur pour l'Asie, où j'ai débarqué pour la première fois en 1990, en Thaïlande. J'y ai trouvé du travail et je suis resté là-bas presque 10 ans, ce qui m'a permis d'explorer tous les pays de l'ASEAN et de faire quelques incursions en Chine, qui venait de s'ouvrir aux voyageurs étrangers. J'ai appris à parler thaï et, depuis, j'y suis retourné une bonne vingtaine de fois, toujours avec un immense plaisir. 


Quant au coaching, j'ai découvert son existence en rentrant d'expatriation au tournant des années 2000. Je suis un coach qui vient du sport : étant moi-même nageur, j'ai eu l'opportunité d'entraîner une équipe de niveau national qui a décroché plusieurs titres FFN. J'ai investi temps et énergie pour décrocher une certification de COACH U (https://www.coachu.com/home/) dès l'année 2000 et j'ai d'abord pratiqué dans le champ du social, avec des jeunes en difficulté  C'était difficile mais particulièrement formateur.  Ensuite, j'ai réalisé en 10 années près de 300 bilans de compétences, avant de fonder en 2017 la Parenthèse au vert (https://www.laparentheseauvert.fr/) une activité d'accueil de personnes traversant un burn out ou un épisode dépressif, initiative  qui répond à un besoin très fort. Le voyage du héros est la continuation de cette aventure passionnante.

Quelques souvenirs de mes voyages : à Berlin en 1980; au Marigot, en Martinique en 1987 et en Thaïlande à Krabi  en 1991

Les sources d'inspiration du voyage :



  • La tradition millénaire du pèlerinage. Le pèlerin prend la route pour se purifier avant de changer. Il accepte de sortir de sa zone de confort pour aller à la rencontre de sa foi dans le monde, dans la vie. A la rencontre de la confiance, de la conscience.


  • Les philosophes de l’antiquité. Se sentir mieux, éprouver de la joie sont des problèmes anciens sur lesquels les philosophes s’interrogent depuis des millénaires. Je pense aux philosophes péripatéticiens, aux stoïciens, à ceux qui s’appelaient en latin les PROGREDIENTES, c’est-à-dire « ceux qui vont progressant » : tous les jours se lever et se demander quel progrès, grand ou petit, je peux accomplir aujourd’hui, au fond du fond.


  • Les camps scouts. Les voyages de PARTONS ENSEMBLE s’inspire aussi des « mouvements de jeunesse » des années 60/70. On partait l’été, en petits groupes, avec un itinéraire, une toile de tente, un couteau de poche et quatre sous. Retrouvons collectivement la légèreté de cette époque et l’insouciance de la jeunesse le temps d’un voyage. Une formidable école et un élan de vie ! Lorsque j’étais jeune nageur, j’ai eu la chance de participer à des échanges internationaux dans le cadre des fédérations travaillistes (UST et FSGT). Il ne s’agissait pas de réaliser des performances extraordinaires et d’être toujours le premier mais de donner une occasion à des jeunes d’aller à la rencontre de leurs pairs, de RENCONTRER l’autre : accueil dans les familles, stages locaux, échanges et jumelages.


  • L’émission de télé-réalité Koh Lanta. J’avoue que je n’ai jamais regardé un épisode en entier mais j’ai aperçu quelques extraits en passant. Cette émission a fait rêver des millions de téléspectateurs pendant une décennie. Pourquoi ne pas imaginer une version en mode bienveillance, solidarité et coopération là où l’émission table sur la compétition et l’élimination des « concurrents » qui deviennent des « ennemis ».


  • Le film LA PLAGE avec Léonardo di Caprio. Ce n'est pas son meilleur film. Néanmoins, j'ai aimé dans ce film la vie de plage telle qu'elle y est présentée (et idéalisée). De longues journées de loisir,  où il fait bon ne rien faire, pratiquer le lâcher prise intégral au sein d'une petite communauté avec quelques règles "mais sans idéologies". C'est tellement bien que tous doivent garder le secret sur ce petit paradis intimiste.
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